Centre  ophtalmologique 

Parc Kennedy. Bat A1.    285 rue Gilles Roberval 3090Nîmes0 Nîmes

L'accueil des patient au cabinet 

⇒  Lundi et mardi de 8h15 à 12h15 et de 13H30 à 18h00,
⇒ Mercredi et vendredi de 8h15 à 12h15

- Maladies et chirurgies des yeux 

       Dr  Thomas  Gaujoux

- Opérations des défauts visuels

285 rue Gilles Roberval

Parc Kennedy, Bat A1

30900 Nîmes

- Injection tox. botulique et
          ac. hyaluronique

La DMLA : dégénesrescence maculaire liée à l'âge 

La DMLA ou Dégénérescence Maculaire Liée à l’Age est la première cause de malvoyance après 60 ans dans les pays industrialisés. Maladie multifactorielle, ses facteurs de risque sont le tabac, l’hypertension artérielle, l’obésité et la prédisposition génétique. 

Cette affection concerne la macula qui correspond à la zone centrale de la rétine et qui permet la vision fine, la lecture, l’écriture, etc.

 

Il existe deux formes de DMLA 

La DMLA exsudative 

La DMLA atrophique

La forme exsudative (ou néovasculaire ou humide) est définie par la prolifération de vaisseaux anormaux (néovaisseaux) entraînant un œdème rétinien. Cette forme évolue très vite, mais peut être améliorée, ralentie voire stoppée grâce à des médicaments à action anti-VEGF.

La forme atrophique (ou sèche) est la forme la plus fréquente et est lentement évolutive. Cette forme entraîne la destruction  progressive des cellules visuelles (photorécepteurs). Il n'existe pas de traitement, mais des compléments alimentaires peuvent être pris en prévention.

Quelle surveillance ?

Quels Traitements  pour la DMLA exsudative ?

La stratégie thérapeutique actuelle vise à limiter l’extension des néo vaisseaux choroïdiens en injectant des substances anti-VEGF. Deux médicaments sont actuellement indiqués dans la DMLA humide : le Lucentis® (Ranibizumab) et l’Eyelea® (Aflibercept).

Ces deux médicaments sont administrés par injection intra vitréenne. Ces injections sont réalisées sous anesthésie locale et sont très bien tolérées.

Le protocole de traitement le plus utilisé comporte une série de trois injections mensuelles puis un rythme d’injection variable en fonction de l’évolution de la maladie observée au cours de la surveillance.

La surveillance de la maladie comporte la mesure d’acuité visuelle, l’examen du fond d’œil et l’OCT (optical coherence tomography) qui est un scanner rétinien. En fonction des ces différents résultats, la poursuite du traitement ou l’abstention, et la surveillance, sont décidée.